Ainsi, sous les vibrations électroniques, sous les frappes d’une batterie et sous la douce fureur du poète nous comprendrions qui nous sommes. SCHVEDRANNE n’est rien que ça : des atomes du passé blanc qui a perdu l’envie d’être blanc, qui ne peut plus l’être tant il sent qu’il est noir, descendant de 100 000 morts. Une démarche musicale et visuelle puissante à réaliser enfin.
SCHVEDRANNE – Athènes ? [CLIP OFFICIEL]
[(Web Schvedranne)]