Mais non, je déconne… N’empêche que, malgré une identité bien présente, on pourrait parfois s’y tromper. Vous ajoutez à cette mouvance cyber punk-métal une petite touche de sensualité à la PJ Harvey. Alors vous me direz, un mélange entre Atari et PJ Harvey, il débloque le chroniqueur. Et pourtant… En tout cas, le voyage est détonant, étonnant, décadent, palpitant, excitant. Profitez en, y aura pas de rappel.