Ensuite Atypik comprend un langage, le dub. Une sorte de vieille machine, un train mélancolique à basse de mélodica et de looping mystique qui renvoie aux filières drum’n bass des sound system british. Voilà ce qui se passe : le atypik crew grandit sans cesse. Deux wagons inédits tracent la route, une section percussive, une tout en cuivre. L’objectif déclaré : déraillé. Après le novo dub voici le liberty dub.