Naviguant dans le sillage d’un Léonard Cohen pris de frénésie et des doors revisités par Nick Cave, Jack The Ripper a réussi au fil du temps à ouvrir sa voie. Les accents de guitare acoustiques et de violon à la douceur trompeuse viennent ponctuer les paroles très imagées d’un chnateur au charisme dévasteur » inarrêtable », c’est musiciens sont des tueurs et jouent avec nos vies par le biais de nos sensation. Votre faim est proche !