Lâche un instant le comptoir et ton ecocup, et rejoins la piste ! C’est l’heure de la grande transition. Manque la boule à facettes, sinon tout y est.
Un brin kitschouille, le projet s’avère être le meilleur de la dolce vita 80s funky et suave. Mené par le roi de l’auto-dérision, avec son costard blanc et son air légèrement beauf… Tout rappelle à la fois le meilleur et le pire des années 80, ses mélodies de synthé rampantes, ses basses et ses solos de saxo…
Le décalage est assumé au premier degré et nous on adore.