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Il a développé un univers visuel qui, s’il est ultra référencé, n’en demeure pas moins parfaitement identifiable : sombre résolument, rétro futuriste avec un penchant certain pour l’esthétique 80s, le cyberpunk et la symbolique sataniste – un peu comme si le blade runner Rick Deckard prenait un verre avec une succube sous les néons d’un bar louche de Tokyo en 2347.

Musicalement, c’est itou : une noirceur poisseuse striée de fulgurances lumineuses, des synthés saturés et inquiétants, lorgnant à l’occasion vers l’indus, le dubstep ou l’ambient, et une atmosphère générale qui n’incite guère à l’optimisme.

https://youtu.be/-B7-Vcdlld8