Poney club, c’est un vrai poème…
Des vers bien rythmés qui vous entêtent, mais aussi des fulgurances, des respirations, des libertés rythmiques, des images qui surgissent : un paysage du grand ouest américain, entre terre et ciel, une tempête, un papillon…
Quand le Post-rock s’autorise à flirter avec la plainte d’un violoncelle, on découvre une musique de chambre électrique vivante, généreuse et subtile.